État civil & Cimetières
Actualités État civil & Cimetières
-
Dans cet arrêt, un couple français souhaitait obtenir l’inscription à l’état civil français de jumelles nées d’une mère porteuse dans l’État de Californie en octobre 2000.
-
État civil & Cimetières
CE, 21 janv. 2011, Époux A, no 333874
Cette affaire concerne un couple de nationalité algérienne ayant demandé un visa touristique pour la France au moyen d’une attestation d’accueil délivrée à cet effet. -
État civil & Cimetières
CE, 27 avr. 2011, Commune de Besançon, no 326358
Dans cet arrêt, le Conseil d’État a dû se prononcer sur une demande d’une commune qui souhaitait être indemnisée par l’État en raison des frais de gestion de demandes de cartes nationales d’identité et de passeports qui impactent lourdement leur budget. -
État civil & Cimetières
CE, 3 déc. 2010, M. A, no 324044
Dans cet arrêt, le Conseil d’État a jugé que des tiers pouvaient s’opposer au changement de nom de famille d’une personne qui aurait choisi le même patronyme qu’eux, en raison de la rareté de leur nom. -
État civil & Cimetières
Cass. 1re civ., 15 déc. 2010, no 09-16968
Dans cet arrêt, la Cour de cassation a rappelé que la seule désignation en qualité de mère dans l’acte de naissance d’un enfant abandonné suffit à établir la filiation maternelle, même sans reconnaissance expresse ni possession d’état. -
État civil & Cimetières
Cons. const., 28 janv. 2011, no 2010-92 QPC
Par une décision très attendue, le Conseil constitutionnel a jugé que l’interdiction du mariage entre personnes de même sexe n’est pas contraire à la Constitution. -
État civil & Cimetières
Cass. crim., 3 nov. 1978, no 78-91144
La simulation de la disparition en mer d’une personne en vue d’obtenir le versement frauduleux du capital des assurances vie contractées par elle constitue le commencement d’exécution d’une escroquerie. -
État civil & Cimetières
Cass. 3e civ., 17 déc. 1997, no 95-20779
Avant la loi du 15 novembre 1999 relative au PACS, la jurisprudence définissait le concubinage notoire comme une « relation stable et continue ayant l’apparence du mariage, donc entre un homme et une femme ». -
État civil & Cimetières
Cass. 2e civ., 29 avr. 1994, no 92-16814
Les juges apprécient souverainement si les faits reprochés à l’un des époux sont constitutifs, conformément à l’article 242 du Code civil, d’une violation grave des devoirs et obligations du mariage rendant intolérable le maintien de la vie commune. -
État civil & Cimetières
CA Riom, 13 sept. 2005, no 05/00340
Aux termes de l’article 88 du Code civil, le décès d’une personne peut être judiciairement déclaré lorsqu’il est certain ; et ce, même si son corps n’a pas pu être retrouvé. -
État civil & Cimetières
Cass. 1re civ., 29 janv. 1976, no 74-12633
Lorsque deux certificats de coutumes apparemment contradictoires sont présentés à l’appui de l’interprétation d’une loi étrangère, en l’espèce celle de l’État de New York, les juges du fond, par une interprétation souveraine, doivent apprécier quel est le plus probant. -
État civil & Cimetières
Cass. 1re civ., 10 janv. 1990, no 87-15307
Les juges du fond ayant le pouvoir d’interpréter souverainement la loi étrangère afin de trancher le litige qui en découle, ne sont pas tenus par les conclusions du certificat de coutume qui n’est qu’un indice pour apprécier ladite loi étrangère. -
État civil & Cimetières
Cass. 1re civ., 13 déc. 1994, no 93-15337
Pour être fiable, le certificat de coutume peut émaner du consul étranger, en l’espèce marocain. -
État civil & Cimetières
Cass. 1re civ., 3 juin 2003, no 01-00859
Lorsque le juge français applique une loi étrangère, en l’espèce Sénégalaise, il doit « rechercher et justifier la solution qu’il donne au litige par le droit positif de l’État concerné », notamment en se référant à une consultation d’un avocat en droit sénégalais et à un certificat de coutume qu -
État civil & Cimetières
CJCE, 14 oct. 2008, Grunkin-Paul, aff. no C-353/06
L’article 18 CE s’oppose à ce que les autorités d’un État membre, en appliquant le droit national qui rattache la détermination du nom patronymique exclusivement à la nationalité, refusent de reconnaître le nom patronymique d’un enfant tel qu’il a été déterminé et enregistré dans un autre État me -
État civil & Cimetières
CE, 27 juill. 2001, Fonds de défense des musulmans en justice, no 216903
L’article 4, alinéa 4 du décret du 22 octobre 1955, ajouté par le décret attaqué du 25 novembre 1999, exige, pour la délivrance de la carte nationale d’identité, la présentation de photographies tête nue. -
État civil & Cimetières
Cass. 2e civ., 19 juin 2002, no 02-60575
Une personne ayant une autre nationalité peut, aux termes de l’article 21-8 du Code civil, décliner sa nationalité française dans les 6 mois précédant sa majorité et les 12 mois suivants. -
État civil & Cimetières
Cass. 1re civ., 30 janv. 2007, no 03-12354
Relève de l’appréciation souveraine des juges la valeur probante d’un affidavit valant certificat de coutume. -
État civil & Cimetières
CE, 28 juill. 2008, Association pour la promotion de l’image, no 317878
L’article 6-1 du décret du 30 décembre 2005, inséré par un décret du 30 avril 2006, prévoit la possibilité de se faire photographier en mairie par des stations d’enregistrement lors du dépôt de la demande de passeport électronique. -
État civil & Cimetières
CE, 15 avr. 1996, Fratoni, no 143448
Aux termes du décret de la convention nationale du 7 décembre 1992 et conformément à la liberté d’aller et venir qui n’est pas limitée au territoire national, l’administration ne peut refuser la délivrance d’un passeport que si les déplacements du requérant à l’étranger sont de « nature à comprom